La grande disparité de l’accès à l’IVG en Loire‐Atlantique

Un peu plus de 40 ans après le vote la loi Veil légalisant l’avortement, l’accès des femmes à ce droit âprement conquis reste très inégal. Si Nantes et le département sont plutôt bons élèves en la matière, les zones rurales manquent néanmoins de médecins prêts à le pratiquer.

manif IVG Nantes
Manifestation à Nantes pour le droit des femmes à l'avortement à l'occasion du 40e anniversaire du vote de la loi sur l'IVG, en novembre 2014/ Photo : © Castelli / Andia.fr

En France, une femme sur trois avorte au cours de sa vie. Pour autant, quarante ans après le vote de la Loi Veil, cette épreuve peut parfois virer au véritable parcours de la combattante, notamment lorsque l’on habite loin d’une grande métropole comme Nantes. Alors que la ministre de la Santé, Agnès Buzyn a promis un rapport sur la question cet automne, Mediapart publiait ce week‐end une grande enquête nationale sur l’accès à l’interruption volontaire de grossesse. Mediacités s’est associé à cette démarche en étudiant plus particulièrement le cas des Pays de la Loire et notamment de la Loire‐Atlantique. Après avoir compilé et travaillé sur les données disponibles, il ressort de cette enquête que si le département est plutôt bon élève, ce satisfecit cache néanmoins quelques disparités.

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Par Alexandre Léchenet et Rozenn Le Saint

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