Il en a fait une affaire d’État. Le bon sens économique vendéen contre la gabegie politique parisienne. Le semi‐retraité Philippe De Villiers, 71 ans, peut crier victoire : « Le Puy du Fou va revivre. Le Puy du Fou vivra ! » Mi‐mai, il éruptait pourtant sur Twitter dans son style inimitable. « J’ai eu Édouard Philippe au téléphone : il refuse la réouverture du [parc], contrairement à la parole du Président. Ils veulent nous briser. Mobilisation générale ! » écrivait l’ami intermittent d’Emmanuel Macron.
Quelques jours plus tard, le 17 mai, un SMS présidentiel, immédiatement révélé sur Twitter (avec l’accord du chef de l’État) calmait un peu la colère du souverainiste. Le matin même, un conseil de défense élyséen (!) venait d’entériner « la réouverture des sites touristiques et parcs à thème en zone verte pour le 2 juin ». Depuis, aucune confirmation ni infirmation officielle. Mais peu importe : chez le “vicomte” on pavoise, tandis que la reprise se prépare dans le parc d’attraction vendéen.
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
Je soutiens Mediacités
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.