Quarante‐six jours et puis s’en va… L’arrivée ultra médiatisée de Raymond Domenech n’y aura rien changé. Débarqué hier dans la journée, l’ex nouvel entraîneur du FC Nantes laisse le club dans une situation sportive à peine plus compliquée que celle qu’il avait trouvé à Noël. Depuis la dernière journée de Ligue 1, le 7 février, le voilà embourbé à une inquiétante 18e place, synonyme de périlleux barrage en fin de saison. Une menace de relégation en Ligue 2 appelée de leurs vœux par certains supporters qui manifestent aux abords du stade de la Beaujoire avant chaque match pour réclamer le départ de Waldemar Kita, président‐propriétaire des Canaris depuis 13 ans et empêtré dans ses « acrobaties fiscales », comme nous le révélions en décembre avec Mediapart.
Cette crise sportive pourrait aggraver une situation financière déjà mise à mal par la crise sanitaire, comme le montre le bilan financier 2020 du club (arrêté en fin de saison dernière, soit au 30 juin 2020), que Mediacités a analysé.
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