« Il n’y a pas de nazis dans mon équipe et il faut arrêter avec ce cirque ». Invité ce lundi 7 février sur France Inter, Éric Zemmour a répliqué aux récentes attaques de ses adversaires à l’élection présidentielle, Marine Le Pen et Valérie Pécresse. Le 3 février, la candidate du Rassemblement National avait été la première à présenter le « zemmourisme », comme un « communautarisme » rassemblant « les catholiques traditionalistes, les païens et quelques nazis ». Les équipes de campagne de la candidate LR lui avaient emboîté le pas avec la diffusion d’une note intitulée « Les sympathies nazies d’Éric Zemmour ».
En Loire‐Atlantique, les sulfureuses fréquentations d’Éric Zemmour ne relèvent pas uniquement de l’attaque politique. Elles sont bien réelles. Ces dernières semaines, le candidat à l’élection présidentielle a même dû faire un sérieux ménage parmi ses soutiens
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