À Nantes, la loutre invitant à la dernière mobilisation contre les « méga‐bassines » à Sainte‐Soline s’est bien frottée les « mains ». Ces derniers mois, dans les rues de la ville, impossible de passer à côté de cette affiche ou de ce tract à l’effigie de l’emblématique mascotte du marais poitevin qui proclamait « Pas une bassine de plus ! ».
Le rendez‐vous donné les 25 et 26 mars n’avait pourtant pas lieu en Loire‐Atlantique, mais dans les Deux‐Sèvres, à 200 kilomètres de là. Un saut de puce pour le vivier nantais de défenseurs de l’environnement
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
Je soutiens Mediacités
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.