C’était il y a tout juste un mois. En ce 1er mai 2023, l’esplanade située devant les Nefs des machines, à Nantes, déborde de monde. Des manifestants venus participer, à l’appel des syndicats unis, au 13e rassemblement en opposition à la réforme des retraites. Mais aussi la plupart de ce que la gauche locale compte d’élus, Johanna Rolland, maire de Nantes et présidente (PS) de la Métropole, en tête. « L’exemple de l’intersyndicale nous oblige, note alors Marlène Collineau, son adjointe (groupe gauche commune) à la Santé. Les forces de gauche doivent pouvoir s’entendre. Il n’y a rien d’insurmontable ! »
Il faut dire que depuis quelques temps, l’union sacrée derrière le mouvement social cache mal les fractures qui s’élargissent au sein de la gauche nantaise. Mi‐avril, l’élaboration des listes
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
Je soutiens Mediacités
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.