« Absence de toute subvention de la sphère publique ». « Initiative privée autofinancée à 100% qui ne reçoit aucune subvention publique »… Le Puy du Fou le martèle à longueur de temps, de communiqués et jusque dans ses spectacles : il ne devrait sa réussite qu’à lui‐même. Et, surtout pas, à une quelconque aide de l’État ou des collectivités. Dans la réalité, pourtant, le parc et ses gestionnaires ont régulièrement bénéficié de sérieux coups de pouce au fil de ses quarante‐cinq années de folle expansion.
Au commencement était d’ailleurs « l’offrande » publique originelle. Soit l’achat, en 1977 par le conseil général de Vendée alors vice‐présidé par Jacques de Villiers (divers droite), des ruines du château du Puy du Fou, « découvertes » par son fils émerveillé, Philippe. Montant de la transaction
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Dans les secrets du Puy du Fou
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