En matière de politique, tout compte : ce qui est représenté autant que ce qui ne l’est pas. Depuis près de 30 ans, le festival Rio Loco, financé par la mairie de Toulouse, se donne pour mission de faire découvrir au public « des chants, des rythmes, des sonorités, des langages et des instruments issus des cultures de leurs pays d’origine ». En choisissant à chaque fois une région du monde.
A Toulouse, Rio Loco invisibilise la Palestine
En amont du festival de musique financé par la mairie, une carte a été distribuée à des écoliers pour les familiariser avec les cultures méditerranéennes. Une première version faisait l'impasse sur les territoires palestiniens. Une omission à peine corrigée suite à des plaintes.