Depuis octobre dernier, seuls 236 habitants du quartier Barrière de Paris ont fait évaluer leur taux de plomb dans le sang.
Inclus dans le périmètre de surveillance sanitaire, instauré par l’Agence Régionale de Santé d’Occitanie (ARS) en octobre dernier autour de la zone de Fondeyre à Toulouse, ils seraient 236 habitants à s’être fait dépister en cinq mois.
Parmi eux, une femme enceinte et un enfant arrivé à Toulouse en septembre dernier ont montré des résultats supérieurs au « seuil à risque de saturnisme » (50 microgrammes de plomb par litre de sang). La préfecture évoque un « cas de saturnisme infantile » et assure que tous deux bénéficient d’une prise en charge et d’un suivi sanitaire spécifique.
Mais 236 dépistages (107 enfants et 129 adultes), cela reste peu, au regard des 12 000 résidents de la zone, dont les sols sont pollués et qui peuvent à ce titre demander à se faire prescrire une plombémie. Les élus du groupe Toulouse Écologiste, Solidaire et Citoyenne dénoncent une communication insuffisante auprès de la population, et réclament un dépistage obligatoire.
Fin janvier, l’ARS a envoyé aux riverains un courrier postal, invitant notamment les personnes les plus vulnérables (femmes enceintes et enfants) à un dépistage gratuit. Une première campagne d’information dématérialisée avait eu lieu via la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, fin octobre
Les comités de quartier réclament les rapports chiffrés
Les autorités sanitaires et environnementales (ARS et préfecture), réunies le 14 mars en Commission de Suivi de Site (CSS), reconnaissent elles‐mêmes que l’avancée du dépistage est timide.
Le rôle de la CSS est de surveiller l’avancée du plan de gestion sanitaire et la dépollution du site, qui a hébergé la STCM (Société de Traitement Chimique des Métaux), à l’origine de cette contamination, sur la zone de Fondeyre, pendant 68 ans, jusqu’en 2020.
Egalement présents autour de la table, les représentants des comités de quartiers (Minimes – Barrière de Paris, Ponts Jumeaux, Lalande) ont réclamé l’accès à l’ensemble des rapports chiffrés, sur lesquels sont notamment basées les autorisations de construire 800 logements, avenue des Etats‐Unis, sur les anciennes parcelles Peugeot et Citroën.
Ces données doivent aussi permettre l’élaboration d’un plan de gestion des sols dans les prochains mois, pour dépolluer les terrains à proximité immédiate de l’ancienne fonderie. Les valeurs relevées, que nous avons pu consulter, y sont supérieures à 300 milligrammes de plomb par kilogramme de terre (mg/kg), et peuvent même grimper jusqu’à plus de 1000 mg/kg.
La capitale du Beaujolais est aussi ravagée par le plomb et bien d’autres polluants, mercure, cadmium, composés organiques , dioxines. Le chiffre de 300mg/kg de terre sèche pour le plomb des sols est une limite inventée par l’Etat pour la construction d’habitat. Les ingénieurs DREAL, ARS sont aux ordres et mentent . Le seul chiffre crédible est pour les plombémies : ZERO microgramme/L. Ce chiffre est donné par le Tribunal de GI de Paris en Juillet 2002. Et seules, les poussières intérieures déposées sont utiles à connaître . L’Etat roule les victimes , des milliers d’enfants et de femmes dans la farine. La valeur limite pour les jardins et terres maraîchères est de 100 mg/KG/
Il est basé sur le taux maxi de plomb toléré dans les eaux des égouts qui alimentent les légumes parisiens et les champignons de culture .
En tant que double (qui n’a jamais redoublé, je le précise!) voici l’explication : le taux de 300mg pour les sols est la résultante de 3 mensonges issus de l’enseignement en école d’administration , outil du pouvoir politique toutes versions .Gauche et droite s’y forment , réversibles à souhait . Trois composants : industriel‐scientifique de salon ‑politichien ‑chien …sous l’oeil glauque de syndicats ouvriers et d’élus sans aucune formation . Certains élus se prononcent sur des choix majeurs en santé publique , sans savoir un traître mot du sujet . Faites le test en conseil municipal . Donc, les 300 mg , limite « tolérée » sic journal , l’est beaucoup moins par les organes humains . Faudrait ajouter : la tolérance est de combien d’années , de mois , de jours ???Pour « tolérer » faut‐il avoir fréquenté une maison …de tolérance ?.
L’INSERM dit pour le saturnisme infantile : 15 jours d’exposition forte suffisent
J’ai envie de vous dire que les “dames” en maison ou sur les trottoirs sont souvent plus honnêtes que ceux qui commettent des crimes sanitaires sur des milliers d’enfants .
Et puis, faites un tour sur le web avec les mots ‑clefs : Métaleurop ‑ARNAS‐Villefranche /Saône, vous verrez que Toulouse n’est pas seule .…dans la m.…! Je serai heureux de vous lire . Merci au journal pour sa porte ouverte .
NB:le taux normal d’un sol (TAHL selon l’INRA d’Orléans ) tourne autour de 30 mg et même moins.
Chers amis toulousains dont j’ai bien connu ‚jadis , votre commissaire de la République, Pierre BERTAUX, Résistant majuscule , qui fut ensuite mon prof à Lille en Fac . Sacré bonhomme courageux !
La vérité sur le risque sanitaire n’est pas dans les analyses de sols et de sang faites “à la sauvette”, mais dans celles des poussières de vos logements , écoles, lieux publics‐ERP, extérieurs (terrains de jeux, sports …) .L’Etat ARS‐Préf‐DREAL vous roulent dans la farine . Demandez le document jamais publié par l’Etat . à la DDPPE du Rhône . Info garantie . Comme pour votre cassoulet , vous vous en lécherez les babines . La vérité que vous recherchez est là!!!!!!!!C’est cuit !
Je reprends : La Note de synthèse Métaleurop ‑ARNAS ‑Rhône ‚parue en Avril 1999 est le document à réclamer à la Préfecture du Rhône , DDPP, consultez le WEB pour le courriel . Vous verrez que l’Etat vous ment avec ses analyses de terre . Ces mensonges sont fabriqués en Ecole d’administration . Les gens avalent des couleuvres . Finalement , essayez plutôt les couleuvres . Avec une pincée de sel et un poivron .