Mettre « l’éthique au cœur du politique », « diffuser une culture déontologique commune » parmi les élus et faire reculer « la défiance des citoyens » à l’égard de leurs représentants. En votant, le 30 septembre dernier, la création d’un Comité consultatif de déontologie et de transparence des élus de la ville de Lyon – appelez‐le « CCDTE » – la majorité de l’écologiste Grégory Doucet lui a attribué de grandes missions. Mais l’instance aura‐t‐elle les moyens des ambitions affichées ? Mediacités a posé
Comité de déontologie de la ville de Lyon : « un signal fort », mais de « sérieux doutes sur son efficacité »
Pour prévenir les conflits d’intérêts et inciter les conseillers municipaux à exercer leur mandat avec éthique, la majorité de Grégory Doucet a voté la création d’une instance dédiée à la déontologie et à la transparence des élus. Pour Mediacités, l’universitaire Aurore Granero, spécialiste de ces sujets, passe au crible l'initiative.