Mediacités interdit d’accès à la tribune presse de l’hôtel de Région des Pays de la Loire
Nantes •
Les atteintes à la liberté de la presse montent d’un cran au conseil régional des Pays de la Loire. Non content de ne plus répondre aux sollicitations des journalistes de Mediacités depuis trois ans, le service presse de la Région m’a refusé ce 19 décembre l’accès à l’hémicycle et donc à la tribune presse. Récit d’une nouvelle entrave.
Le président de la métropole du Grand Paris poursuivait notre journal pour nos révélations sur le dépôt d’une plainte pour « détournement de fonds publics » et « prise illégale d’intérêts » qui le visait indirectement, en tant que maire de Rueil‐Malmaison.
Faute d’avoir les éléments chiffrés de la part du conseil régional des Pays de la Loire, nous avons lancé un appel aux structures touchées par les baisses de subventions décidées par la présidente. Résultat : un tableau recensant près de 200 organismes, privés d’aide régionale en 2025. Et l’inventaire des conséquences financières et sociales ne fait que commencer…
Un an après la parution d’une série d’articles sur le sujet, Mediacités lance une enquête participative sur les dérives observées dans le milieu des pompes funèbres. Vos témoignages peuvent contribuer à lever le voile sur les logiques mercantiles qui s’appliquent au deuil.
Après huit années intenses passées à la présidence et à la direction de Mediacités, j’ai décidé de transmettre le relai. Je vous explique pourquoi.
Il y a un an, Mediacités braquait les projecteurs sur les vols à l’hôpital, un phénomène massif dont les conséquences financières et sanitaires sont pourtant très peu documentées. Aidez‐nous à convaincre la Cour des comptes d’y consacrer l’une de ses prochaines enquêtes.
Le nom du successeur de Laurent Wauquiez à la tête de la région Auvergne‐Rhône‐Alpes sera connu ce 5 septembre (il devrait s’agir du vice‐président Fabrice Pannekoucke). L’occasion d’ouvrir notre carton aux archives : Mediacités a consacré plus de 75 enquêtes à la gestion locale de l’homme fort des Républicains, émaillée d’affaires et de coups de com’.
La Cour d’appel de Douai a condamné la députée du Nord à près de 6 000 euros et confirmé que le directeur de Mediacités n’avait commis aucune faute civile. En première instance, celui‐ci avait déjà été lavé de toute faute pénale.
Le 20 juin, la cour d’appel de Lyon a donné raison à Mediacités et débouté le promoteur immobilier et son PDG, Hervé Legros, dans les deux procédures en diffamation intentées contre notre journal. Ce qui ne les empêche pas de crier victoire dans une grossière tentative de manipulation des faits.
Au nom de Mediacités, j’ai saisi le conseil de déontologie journalistique et de médiation contre La Dépêche du Midi qui avait repris nos informations sans nous citer. Le CDJM vient de nous donner raison, soulignant le manquement déontologique du journal de la famille Baylet. Explications.
Plus de 670 articles, dont de nombreuses enquêtes marquantes, et de nouveaux lecteurs‐sociétaires : l’an dernier, Mediacités a poursuivi dans la voie d’un journalisme singulier, exigeant et indépendant. Dans un contexte difficile pour la presse, notre journal a limité ses pertes, mais n’atteint pas l’équilibre. On vous explique.
Voilà plus de deux ans et demi que Mediacités réclame, en vain, les notes de frais du président d’Auvergne‐Rhône‐Alpes, de ses vice‐présidents et de ses collaborateurs. Mais le tribunal administratif de Lyon vient de nous donner raison ! Le patron de la Région a deux mois pour nous transmettre ces documents administratifs et se conformer, enfin, à la loi.
Hervé Legros, PDG du promoteur immobilier lyonnais, poursuivait Mediacités – pour la troisième fois ! – en diffamation. Ce 21 mai, notre journal a été relaxé en première instance et l’homme d’affaires condamné pour procédure abusive. Il peut désormais interjeter appel.
À deux ans de la fin du mandat de Johanna Rolland, Mediacités a évalué chacun des engagements de campagne de la maire de Nantes. Un travail unique, titanesque et fastidieux, mais tellement utile à la démocratie locale.
À l’automne dernier, Mediacités publiait une longue enquête consacrée au mal discret et tabou des vols à l’hôpital. Grâce à vos témoignages, nous complétons nos révélations et nous publierons le 23 avril prochain une suite, spécifiquement consacrée au circuit du médicament.
Venez rencontrer les journalistes locaux des médias indépendants le 3 avril prochain à Lille aux États généraux de la presse indépendante. Au programme : un « village médias » et deux tables rondes.
Notre journal était poursuivi, ce mardi 19 mars, par le promoteur immobilier lyonnais suite à la publication… d’une brève. L’audience concernait aussi nos confrères de L’Informé.
Le promoteur immobilier a assigné notre journal pour la publication d’une brève concernant un redressement fiscal. L’audience de ces nouvelles poursuites intentées pour nous faire taire se tiendra, à Lyon, le 19 mars.
Contraint de démissionner de tous ses mandats suite à des articles publiés notamment par Mediacités, Emmanuel Agius, ex‐premier adjoint de la maire de Calais, s’en est pris à leur auteur, Morgan Railane, accusé de vouloir « le traîner dans la boue ». Une stratégie de défense qui n’est malheureusement pas une première…
Jeudi 22 février, une centaine de personnes ont participé à l’étape nantaise des États généraux de la presse indépendante. Un moment unique pour aller à la rencontre des acteurs régionaux de cette presse « aussi sérieuse qu’irrévérencieuse ».
Venez rencontrer les journalistes locaux des médias indépendants le 22 février prochain à Nantes aux États généraux de la presse indépendante. Au programme : un « village médias » et deux tables rondes.
Ce mardi 6 février, une dizaine d’associations et de médias, dont Mediacités, ont organisé l’étape lyonnaise des Etats généraux de la presse indépendante. Vous pouvez revoir les débats et tables‐rondes grâce à l’enregistrement de la soirée.
Venez « libérer l’info des pouvoirs politiques, des médias de la haine et des milliardaires », le 6 février prochain, aux Etats généraux de la presse indépendante à Lyon. Au programme : « village médias », tables‐rondes et théâtre d’impro !
Alors que la France pousse l’Europe à autoriser l’utilisation de logiciels‐espions contre les journalistes dans le cadre de certaines enquêtes, la profession, dont Mediacités, pointe les risques pour la liberté de la presse. Et appelle Emmanuel Macron à retirer cette autorisation.
Jeudi 30 décembre, plus de 100 médias indépendants organisaient une grande réunion consacrée à l’avenir de la presse et de l’information. Retrouvez l’intégralité de ces débats et des propositions en vidéo sur Mediacités.
La justice a relaxé notre journal dans les deux procès en diffamation intentés par le groupe d’Hervé Legros et a condamné celui‐ci pour procédure abusive. Dans le même temps, d’autres médias ont multiplié les révélations sur l’envers du promoteur immobilier.
Notre journal s’associe avec le trimestriel qui « raconte l’actualité en bande dessinée » pour co‐publier une BD‐enquête consacrée à la privatisation de l’aéroport Lyon Saint‐Exupéry. Une première dans nos pages !
Plus de 100 médias indépendants et collectifs de presse, dont Mediacités, se sont saisis de l’organisation des états généraux de l’information, lancés début octobre par l’Elysée, pour exiger des mesures fortes afin de garantir l’indépendance des rédactions et la liberté de la presse.
Grâce à vos nombreuses réponses à notre appel à témoignages, Mediacités peut poursuivre son enquête sur les vols dans les hôpitaux, ce mal discret et tabou qui menace la qualité des soins.
Le Club de la presse des Hauts‐de‐France a récompensé notre journaliste Matthieu Slisse, dans la catégorie jeune journaliste, pour son enquête consacrée à l’établissement privé Marcq Institution. C’est le 13e prix remporté par notre journal depuis sa création.
Pour la première fois depuis plus de cinq ans, le président de la Métropole européenne de Lille a répondu aux questions de Mediacités. Ceci augure‐t‐il de la fin de la censure à laquelle nous étions soumis ? Rien n’est moins sûr… mais l’espoir fait vivre !
L’enquête que nous publions cette semaine lève le voile sur un sujet hautement inflammable. Elle a failli ne jamais voir le jour tant il a fallu surmonter d’obstacles. Elle illustre aussi toute l’utilité d’une presse d’investigation indépendante, pugnace et qui n’entend pas en rester là… grâce à vous.
Notre journal était traîné en justice ce mardi 17 octobre par le promoteur immobilier Hervé Legros, pour diffamation. Son avocat Alain Jakubowicz s’en est pris tour à tour à la presse indépendante dans son ensemble et au principe de la protection des sources.
Condamné pour diffamation le 3 octobre par le maire de Rueil‐Malmaison, Mediacités a immédiatement interjeté appel. Trois jours plus tard, Patrick Ollier est sous le coup d’une nouvelle plainte pour « détournement de fonds publics » et « prise illégale d’intérêts », comme le révèle Libération.
En 2020, Mediacités mettait en ligne Radar, un outil inédit et original pour suivre les plus de 170 promesses des candidats élus à la tête de la ville et de la métropole de Lyon. Trois ans plus tard, les majorités écologistes tiennent‐elles leurs engagements ?
Non contente des décisions de justice qui lui sont systématiquement défavorables, la députée macroniste s’entête contre Mediacités. Et tient sans scrupules des propos diffamatoires à l’encontre du journal et de son directeur.
Pour la première fois de sa jeune histoire, Mediacités a dégagé un résultat net positif l’année dernière. Mais cette bonne nouvelle cache une situation financière qui demeure fragile.
Suite à nos révélations sur ses méthodes et les coulisses de sa « success story », le promoteur lyonnais Hervé Legros intente non pas un mais deux procès à notre journal. Face au risque d’épuisement financier et pour continuer à enquêter sur Alila et d’autres, votre soutien est déterminant.
Depuis un an et demi, Mediacités demande à la région présidée par Laurent Wauquiez de lui communiquer les notes de frais de ses élus. Malgré un engagement du directeur général des services arrivé à échéance fin mars, la collectivité refuse toujours de se montrer transparente.
Depuis la création de Mediacités, 17 procédures judiciaires ont été intentées contre notre journal, par ceux que nos enquêtes dérangent. Si le droit de la presse se montre plutôt protecteur pour les journalistes, plusieurs de ses dispositions fragilisent l’exercice de notre métier et entretiennent des inégalités entre les parties.
Hervé Legros, PDG du groupe Alila, poursuit notre journal pour « diffamation » suite à nos révélations sur ses factures impayées auprès de plusieurs sous‐traitants. Vous pouvez nous aider.
Le dernier conseil municipal de Toulouse a été l’occasion d’une attaque en règle contre Mediacités de la part du maire et d’une des élues de la majorité. Une charge aussi grossière qu’inadmissible.
Ces dernières semaines ont été marquées par de nombreuses procédures judiciaires qui apparaissent comme autant d’atteintes à la liberté de la presse. Ce thème crucial pour notre démocratie était au coeur des échanges, le 6 décembre dernier, lors d’une soirée‐débat à Lille co‐organisée par l’ESJ et Mediacités.
Saisie suite au refus de la région Auvergne‐Rhône‐Alpes de nous communiquer les notes de frais de ses élus depuis plus d’un an, l’autorité indépendante estime légitime notre demande. Mais nous n’allons pas en rester là…
La justice a ordonné à Mediapart de ne pas publier une enquête concernant le maire de Saint‐Étienne. Une censure inacceptable qui porte atteinte à la liberté de la presse.
Notre journal en ligne d’investigation vient d’être récompensé par le Club de la Presse des Hauts‐de‐France pour deux de ses enquêtes. Un bel encouragement alors qu’il nous faut encore engranger plus de 1 200 abonnés d’ici la fin de l’année pour assurer notre pérennité.
Malgré nos demandes répétées, le président d’Auvergne-Rhône-Alpes ne nous a toujours pas transmis ses notes de frais ni celles de son exécutif. Aidez Mediacités à les obtenir : interpellez à votre tour la Région et contribuez au contrôle du bon usage (ou non) de l’argent public.
Depuis le 4 novembre, le journal local d’Auvergne reprend des informations dévoilées par Mediacités sur l’industriel Alma, un des poids lourds de l’eau minérale en bouteille, sans respecter les principes de base de la déontologie de notre profession.