Le coup de pouce de la mairie de Toulouse au collectif d’extrême droite Nemesis

Côté pile, le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc prend un arrêté pour interdire une conférence du groupuscule d’extrême droite Némésis. Côté face, son directeur de cabinet dégote une solution de repli aux militantes fémo-nationalistes.

WhatsApp Image 2025-01-24 à 14.40.44_50458063
Sur X, le collectif d'extrême droite Némésis a pu exulter après la tenue de sa conférence à Toulouse. / Réseau X Alice Cordier

« On l’a fait ! », fanfaronne sur le réseau social X, le collectif identitaire Némésis, ce jeudi 23 janvier dans la soirée. « Notre conférence a bien pu se tenir à Toulouse », malgré les protestations des forces politiques de gauche. Et surtout malgré l’arrêté d’interdiction de réunion pris, plus tôt dans la journée, par le maire de la ville, Jean‐Luc Moudenc. Si le groupuscule fémo‐nationaliste a pu trouver aussi rapidement une solution de repli, c’est, selon les informations de Mediacités et StreetPress, grâce à l’intervention discrète, mais efficace… du cabinet du maire de droite.

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Profitez de toutes nos enquêtes !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation indépendant sur les pouvoirs locaux. Et ses enquêtes ont de l’impact !
Abonnez‐vous pour profiter d’infos exclusives sur votre ville et soutenir le travail de ses journalistes.
(69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement)

Je soutiens Mediacités


Publié le

Temps de lecture : 3 minutes

Favorite

Par Gael Cérez et Mathieu Molard, StreetPress