Le théâtre Graslin, haut lieu culturel et patrimonial nantais, est entré en résistance et dans la danse. Le spectacle vivant, là aussi, n’en peut plus d’être déclaré pour mort, avec tous ces lieux mis sous cloche et ces professionnels de jour en jour fragilisés, cloués au sol et, pour beaucoup, en rupture de droits aux indemnisations chômage : « Artistes en déconfiture », comme ils se définissent.
Alors une quarantaine de comédiens, techniciens, musiciens ou danseurs se sont emparés des lieux mercredi 10 mars. Nuit et jour. Depuis, sur le parvis, chaque après‐midi, sous le regard des huit Muses (il manque la neuvième, celle de l’astrologie, Uranie) surplombant les huit colonnes du bâtiment néoclassique, ça revendique un max et ça swingue sec : sens de la fête et fête du sens.
Nous vous offrons l’accès à cet article
Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner !
En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
- J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
- Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité
Attention, journal en danger !
Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :
Je soutiens Mediacités
- en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
- en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.