Immobilier : forts contrastes dans les prix de l’ancien
Toulouse continue sa croissance démographique et le centre‐ville est plus que jamais prisé. Certains secteurs connaissent une flambée des prix, comme le constate pour La Tribune Philippe Pailhès, président de la Chambre interdépartementale des Notaires. Même s’il est légèrement excentré, le quartier de la Cépière, qui fait l’objet d’importants programmes immobiliers, a vu le prix médian du m² de l’ancien s’envoler en un an, avec une augmentation de 15,2 %. Soit aujourd’hui 2740 euros le mètre carré. De même, les Chalets voient leur cote progresser de 8,5 %, atteignant 4140 euros par mètre carré. Pour autant, à moins de deux kilomètres à vol d’oiseau, la différence de prix est spectaculaire : le prix de l’ancien plafonne à 1790 euros le mètre carré dans le quartier de la Roseraie, qui subit une forte baisse de 15,8 % en un an. Si l’on tient compte de l’ensemble de son étendue administrative (plus importante que celle de Paris), « Toulouse n’est pas une ville chère », résume Philippe Pailhès : 2610 euros du mètre carré (contre 2500 euros l’année dernière).
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