Prison de Seysses : toujours trop de détenus en cellule… et de rats

Mediacités a pu visiter le centre pénitentiaire de Toulouse-Seysses, en compagnie du député LFI Christophe Bex. L'occasion de constater la lente évolution des conditions de détention, deux ans après le rapport incendiaire de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté.

2023-NOVEMBRE- Centre pénitentiaire Seysses
Dans les deux maisons d'arrêt pour hommes de Seysses, au total 160 détenus dorment sur un matelas. / Photo Ben Art Core

La France est un pays où un élu du peuple peut venir frapper à tout moment à la porte d’une prison, d’un centre de rétention ou d’un commissariat pour demander à voir la façon dont y sont traitées les personnes privées de liberté. C’est ce droit qu’a exercé vendredi 3 novembre Christophe Bex

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Profitez de toutes nos enquêtes !

Depuis huit ans, Mediacités propose un journalisme d’investigation sur les pouvoirs locaux et ses enquêtes ont de l’impact dans les villes. Aujourd’hui notre existence est menacée.
Soutenez la rédaction, ses journalistes et la démocratie locale :

Je soutiens Mediacités

  • en vous abonnant (69 € par an ou 7,90 € par mois, résiliable à tout moment et facilement) pour lire toutes les enquêtes
  • en effectuant un don (défiscalisable à 66%) pour soutenir le travail et assurer la survie d’un journal local indépendant, sans pub et à impact.

Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 3 minutes

Favorite

Par Emmanuel Riondé