Une décennie après, Nantes est‐elle digne de son titre de « Capitale verte européenne » ?

La Sèvre Nantaise dans le quartier Pirmil à Nantes Photo Antony Torzec
La Sèvre Nantaise dans le quartier Pirmil à Nantes. Photo : Antony Torzec

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Temps de lecture : 9 minutes

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Par Antony Torzec

En raflant le titre de « Capitale verte européenne » en 2013, la Ville de Nantes s’était engagée à améliorer son environnement. En réponse à la question d’un abonné, Mediacités vérifie cette promesse en matière de qualité de l’air, de l’eau et de végétalisation.

Question de Pierre, de Nantes :

« En 2013, Nantes est devenue la première ville française lauréate du titre de Capitale verte de l’Europe. En tant qu’habitant, je n’observe qu’un recul continu de sa canopée. En tant que cycliste, je n’ose plus pédaler en ville. Je ne respire plus à pleins poumons l’air iodé. En tant que riverain de la Loire, je me soucie de la santé de son fleuve. Alors, Nantes Capitale verte : Réalité ou green‐washing ? »

Merci, Pierre, pour vos questions que nous avons regroupées en une seule pour synthétiser l’esprit de votre questionnement. Quelle riche idée de faire un point écologique plus de dix ans après la désignation de la Cité des ducs au titre de Capitale verte de l’Europe !

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