Transplanter un arbre est‐il une alternative viable à l’abattage ?

Alors que les arbres tombent à Toulouse, pourquoi la transplantation n'est-elle pas plus souvent envisagée ? Systématisée dans certains pays, cette méthode n'est que peu pratiquée en France. La délicatesse de l’opération et son coût ne sont pas les seuls freins.

2024_MARS_TOULOUSE_Transplantation d'arbres
Ces micocouliers hauts de dix mètres ont été prélevés dans un parc et implantés place Dupuy lors de la rénovation de la Halle aux Grains à la fin des années 1990. / Photo Louise Hébrard

Chaque semaine, les arbres tombent dans l’agglomération toulousaine. À titre d’exemples, 1 660 arbres seront effacés pour laisser place au tracé de la troisième ligne de métro ; une soixantaine de micocouliers et un cèdre sexagénaire sont menacés par le projet de renouvellement urbain dans le quartier des Trois Cocus au nord de Toulouse ; sans compter les centaines de tronçonnages prévus le long de l’A69

Nous vous offrons l’accès à cet article

Et à toutes nos enquêtes pendant deux jours  !
Oui, on est généreux 😉 Mais pensez aussi à vous abonner  !

En renseignant votre adresse, vous acceptez nos conditions générales d’utilisation.
Mediacités s’engage à ne pas céder votre adresse à des tiers. En cas d’échec, écrivez à contact@mediacites.fr
  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • Je découvre un média 100 % indépendant, avec 0 % de publicité

Profitez de toutes nos enquêtes

Les informations exclusives de Mediacités sont le fruit du travail de nos rédactions locales. Soutenez un média 100% indépendant avec 0% de publicité !
Je m’abonne pour 69 € par an ou 7,90 € par mois

  • J’accède aux 4 éditions de Mediacités (Lille, Lyon, Nantes et Toulouse)
  • J’empêche les pouvoirs locaux de gouverner en rond
  • Je peux résilier mon abonnement à tout moment et facilement

Publié le

Modifié le

Temps de lecture : 7 minutes

Favorite

Par Caroline Carissoni